INTRODUCTION


Voici l'une des 22 plaques que l'on peut trouver dans les rues d'Angoulême:libeang.JPG (9499 octets)

Le 24 juin 1940, les Allemands commencèrent à s'installer en Charente. Cette installation fut symbolisée par une ligne de démarcation, qui coupait le département en deux parties, du Nord au Sud. A l'Ouest, se trouvait  la zone occupée et à l'Est, la zone libre.

 

 

      Ensuite, les Allemands s'emparèrent de toutes les possessions françaises. Les Français décidèrent de se rebeller, en devenant résistant ou en faisant parti du maquis charentais "Bir Hakeim". Tous eurent peur lorsque  Gontran Labrégère , le premier jeune résistant charentais, fut fusillé. Mais le souvenir de ce jeune homme courageux, modèle de bravoure, fut, pour les Charentais, comme une lueur d'espoir. Cependant, les attentats, les crimes et le sang devinrent coutumiers pour les gens habitant l'Ouest.   Mais leurs actes de résistance ne furent pas vain, car ils auront servi à faire de la France un pays libre. Beaucoup de monuments sont dédiés aux résistants morts pour leur patrie. Car aujourd'hui, c'est grâce à tous les résistants que nous sommes libres. On peut donc remercier chaleureusement tous les résistants morts ou vivants, hommes ou femmes, étrangers ou français...
(D'après la plaquette Les Lieux de Mémoire de la deuxième guerre mondiale-CHARENTE, secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants-Commission départementale de l'Information historique pour la Paix)

Ci-dessous : le mémorial de la déportation,Avenue de Lattre-de-Tassigny, dédié aux survivants des camps de concentration et aux 345 qui y sont disparus.

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